TPN | Compagnies Accueillies en résidence – Saison 2024 | 2025
18430
page-template-default,page,page-id-18430,bridge-core-1.0.4,ajax_fade,page_not_loaded,,vertical_menu_enabled,side_area_uncovered_from_content,qode-theme-ver-18.0.7,qode-theme-bridge,qode_header_in_grid,wpb-js-composer js-comp-ver-5.7,vc_responsive

Compagnies Accueillies en résidence – Saison 2024 | 2025

Bérénice | Compagnie Le Bruit des Gens

> Compagnie référente du TPN

Résidence du 1er au 12 octobre

Texte : Racine

Adaptation et mise en scène : Olivier Jeannelle

Avec : Ibrahim Hadjaieb, Camille Petit et Olivier Jeannelle

Musicien : Aurel Garcia

Assistanat Mise en scène : Patricia Delattre

« Ce n’est point une nécessité qu’il y ait du sang et des morts dans une tragédie ; il suffit que l’action en soit grande, que les passions y soient excitées et que tout s’y ressente de cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie. Je cru que je pourrais rencontrer toutes ces parties dans mon sujet. Mais ce qui me plut davantage, c’est que je la trouvais extrêmement simple. Il y avait longtemps que je voulais essayer si je pourrais faire une tragédie avec cette simplicité d’action qui a été si fort du goût des Anciens. » Racine

Je pars | Collectif Offense

En résidence du 14 au 20 octobre

Création collective

Auteur : Rudy Gardet

Jeu : Mag Lévêque, Maxime Grimardias

Productions : Clémentine Lévêque / collectif offense

Accueil en résidence d’écriture : Centre d’Écriture Dramatique Wallonie-Bruxelles, Maison des Écritures Lombez-Occitanie

Je pars est un lieu de mémoire alternatif, à la fois documentaire, symbolique et performatif.

Sous la forme de la litanie sont énumérés les actes de peuples et de figures en lutte, que leurs combats aient été victorieux ou non, qu’ielles se soient battus pour s’émanciper ou survivre.

Nous voulons partager la mémoire de celles et ceux qui subirent et combattirent les oppressions, et nous voulons le faire de manière transhistorique, transgéographique, et non hiérarchisé.

Jacqueries et grèves insurrectionnelles, fêtes et carnavals, révolutions anticolonialistes ou féministes, luttes armées et révoltes pacifistes se succèdent en images fugaces, composent la fresque d’un monde libre et d’une mémoire à entretenir.

La parole commémorative dans Je pars est celle d’un espace commun, d’un espace à habiter entre les lieux, les époques, les identités et les assignations que chacun et chacune traverse durant sa vie.

https://www.collectifoffense.com

https://www.instagram.com/offense_collectif

https://www.facebook.com/offensecollective/

Hostes Humani Generis | Théâtre du Rocher

Du 18 au 22 novembre puis du 25 au 29 novembre

> Compagnie associée cette saison

C’est l’aventure fantastique des pirates du NHMS Fortune. C’est un navire sans capitaine qui
essaye de s’extraire d’un monde violent , de rêver un ailleurs et de fabriquer ses propres
utopies. Mais la marine les pourchassent et les déclare ennemi du genre humain. L’équipage
pirates va tenter d’ouvrir son propre horizon.

 

De/par/avec :
Clarice Boyrive
n, Nathan Croquet, Lucas Saint Faust, Yohann Villepastour, Emma Gautrand, Noé Reboul et Clélia Tournay (lumières) et Camille Bouvier (scénographie)

Partenaires / Soutiens : Le Théâtre Jules Julien, Le Théâtre du Pont Neuf, Le Théâtre Sorano, L’Arène Coin Culture, le Pari, le Théâtre des Mazades, L’Espace Roguet

www.theatredurocher.com

La Chute | Compagnie Le Bruit des Gens

Résidence du 3 au 5 décembre

D’après Albert Camus

Adaptation, mise en scène, interprétation : Olivier Jeannelle

Adaptation, complicité artistique & regard extérieur : Yohann Villepastour

Scénographie & espace scénique : Olivier Jeannelle et Maël Vogel de Laurens

Musique : Charlotte Castellat

La Chute d’Albert Camus raconte l’histoire de Jean-Baptiste Clamence, un avocat parisien qui un jour décide de quitter sa vie confortable pour s’installer à Amsterdam. Il y mène une existence solitaire et se confie à un interlocuteur anonyme dans un bar, lui racontant ses réflexions sur la culpabilité, la responsabilité et la condition humaine. Clamence se décrit comme un homme parfait, mais au fil de ses confessions, il révèle petit à petit sa vraie nature égoïste et manipulateur…

La Chasse aux rats | Compagnie le bruit des gens

Résidence le 11 et 12 décembre

Création pour le Festival de Caves 2025

Texte : Peter Turini

Mise en scène : Olivier Jeannelle

Interprétation : Charlotte Castellat, Luc Onnen et Olivier Jeannelle

avec la voix de Yohann Villepastour

Création musicale et sonore : Charlotte Castellat, Olivier Jeannelle et Luc Onnen

Accessoires, décors et régie : Maël Vogel de Laurens

La Chasse aux rats, c’est la rencontre d’un homme et d’une femme dans une décharge municipale. Il partage avec elle son passe-temps favori : tirer à la carabine sur les rats qui grouillent entre les déchets. Dans un dialogue qui mêle séduction, désespoir et confessions, ils se découvrent l’un l’autre en se débarrassant des objets qu’ils portent sur eux. D’une langue brute, provocante, à l’humour acide, Peter Turrini nous livre un texte au vitriol.

éCLOSION une résidence partagée entre deux jeunes compagnies  : du 16 au 20 décembre

Je gère | Compagnie Haute-Envolée

Jeu : Laurène Mazaudier, Lise Royo
Mise en scène : Joséphine Picard
Regard extérieur : Mélanie Vayssettes
Il s’agit d’une création théâtrale originale, inspirée de témoignages recueillis par la porteuse de projets auprès de travailleuses sociales, de podcasts et de documentaires traitant du phénomène de prostitution des mineur.e.s en France.
Une disparition, un vide, un trou.
Ca tourne autour, ça se questionne, ça cherche… Bref, ça enquête !
Finalement la matière arrive, massive et inattendue, elle s’impose de tout son cru et ne les lâche plus.
Elles secouent leur matière grise pour retracer ce qui s’est passé, et comprendre comment tout a commencé, pourquoi elle en est arrivée à… Pour quoi ?

Stabat Mater Furiosa | Compagnie L’invention de la canelle

Texte : Jean-Pierre Siméon

Interprétation : Lou-Marine Régis

Mise en scène : Quentin Iacono

Qu’est ce que la violence ? D’où vient-elle ? Qui touche-t-elle ? Comment composer avec elle ?
Stabat Mater Furiosa est une injonction à l’introspection.
À travers un texte rugueux et incisif, nous assistons à la naissance d’une voix, d’une femme, d’une entité, prenant position contre le traumatisme, et la victimisation.
Une voix qui s’oppose à l’inertie de la violence, confronte la brutalité des conséquences, des causes, des faits. Un lourd et encombrant sac de jute à prendre à bras le corps. À maîtriser. À étreindre. »

La Chasse aux rats | Compagnie le bruit des gens

Résidence du 27 au 31 janvier

Texte : Peter Turini

Mise en scène : Olivier Jeannelle

Interprétation : Charlotte Castellat, Luc Onnen et Olivier Jeannelle

avec la voix de Yohann Villepastour

Création musicale et sonore : Charlotte Castellat, Olivier Jeannelle et Luc Onnen

Accessoires, décors et régie : Maël Vogel de Laurens

La Chasse aux rats, c’est la rencontre d’un homme et d’une femme dans une décharge municipale. Il partage avec elle son passe-temps favori : tirer à la carabine sur les rats qui grouillent entre les déchets. Dans un dialogue qui mêle séduction, désespoir et confessions, ils se découvrent l’un l’autre en se débarrassant des objets qu’ils portent sur eux. D’une langue brute, provocante, à l’humour acide, Peter Turrini nous livre un texte au vitriol.

La Timidité des cimes | Cie La particule

Résidence du 10 au 16 février | du 31 mars au 6 avril

> Compagnie associée cette saison

Conception et direction artistique : Juliette Paul et Maëva Meunier

Texte original de Laura Vazquez

Mise en scène : Maëva Meunier et Juliette Paul

Jeu : Chloé Sarrat et Asja Nadjar

Création lumière : Lionel Ueberschlag

Création scénographie : Marine Brosse

Deux femmes étudient les frontières entre le monde animal et végétal. Elles vivent entourées de végétation dans un espace étrange qui semble à la fois être une serre, une cuisine et un laboratoire. Leurs expériences autour de la mémoire et de la résilience du vivant face aux épreuves du temps vont amener leurs propres corps à se métamorphoser.

Compagnie Voraces

Résidence du 18 au 23 février

Résidence de création pour le Festival de Caves 2025 ++

www.cievoraces.com

Quichotte ex-machina |

Compagnie Les Réflecteurs de la Mancha

En résidence du 4 au 8 mars

Spectacle en immersion audiovisuelle.

Conception : Mathieu Hornain

Adaptation et interprétation (distribution en cours) : Mathieu Hornain et Sarah Freynet

Aide à la mise en scène : Nathalie Hauwelle

Regard extérieur et diffusion : Sophie Berneyron

Chacun est comme Dieu l’a fait et bien souvent pire.

Miguel de Cervantès, L’ingénieux hidalgo Don Quichotte de la Manche.

Si Don Quichotte était une femme serait-elle aussi folle que lui ? Serait-elle une… chevalière ? Serait-elle devenue un mythe ? La romancière Sarah Grall réécrit le chef- d’œuvre de Cervantès au féminin, dans un ingénieux dispositif vidéo qui dévoile les mécaniques du cerveau de l’auteure, jusqu’à la folie.

La Candeur, au-delà-des ruines

Compagnie Silencio

En résidence du 11 au 22 mars

Création, jeu et mise en scène : Luna Julien Escobar

Écriture et dramaturgie : Louise Ëmo

Accompagné en alternance par : Manon Roussillon et Clémentine Dillé

Création sonore : Aurel Garcia

Un matin tous les enfants ont disparu. Sauf un, Jasper. Seule sur scène, l’actrice enquête entre le fait-divers et le conte fantastique pour essayer de comprendre ce qui se passse quand c’est notre enfance qui disparaît.

Retrouver la nuit | Compagnie La Fabrique

En résidence au TPN du 25 au 28 mars

En résidence à l’Espace Roguet · Conseil Départemental de la Haute-Garonne du 7 au 11 avril avec une représentation le vendredi 11 avril | 20h30

Mise en scène : Mallory Casas-Parramon

Autrice : Manon Ona

Interprétation : Lisa Boudet-Valette et Rose-Hélène Michon

Création lumière : Antoine Dufou

Création musicale : François Rivière

Création vidéo : Clément Combes

« Retrouver la nuit est un projet très personnel et même autobiographique. En 2013, j’ai été incarcérée pendant 6 mois à la maison d’arrêt de Seysses. J’ai mis du temps à digérer cette expérience et j’ai ressenti la nécessité de raconter comment j’ai vécu cette épreuve. Durant ma détention, j’ai rencontré beaucoup de personnalités extraordinaires, des femmes fortes, des femmes cassées, humiliées, abandonnées et enfermées. Je ressens un devoir moral envers elles, un devoir de mémoire. Certaines ne sont plus là pour en parler, d’autres méritent qu’on s’intéresse à leur histoire. J’ai collecté au fur à mesure des années, des témoignages de femmes qui ont été incarcérées mais aussi de gardiennes ou « matonnes » qui travaillent en détention. Avec toute cette matière, j’avais un bon point de départ pour commencer à écrire. Seulement je ne suis pas autrice et ces femmes méritent ce qu’il y a de mieux, une autrice sensible et talentueuse…C’est alors que j’ai pensé à Manon Ona, une autrice de la région qui a déjà publié une pièce sur l’affaire Jacqueline Sauvage que je m’étais empressée de lire. J’ai donc pris rendez-vous avec Manon et nous avons bu un verre au bar l’Evasion en face de l’ancienne prison Saint-Michel. Je lui ai exposé mon projet. Elle a été interpellée par tout ce que je lui ai raconté et le sujet l’a beaucoup touché. » Lisa Boudet-Valette

www.cielafabrique.fr/

La femme assise | Compagnie Lilascopique

En résidence du 8 au 12 avril

Texte : Copi

Mise en scène : François Fehner

Avec : Marion Bouvarel, Sophie Lombard et Lisette Garcia Grau

Comment parler de sexe et de religion quand on est homosexuel dans un pays catholique fasciste et opprimé dans les années 60. En tentant l’allusion, en anthropomorphisant, en absurdisant le propos, jusqu’à la sobriété quasi aphone, en disant peu et en laissant parler à sa place les temps et les silences. La femme assise c’est une écriture en creux, avec une place pour réfléchir ou parfois en montrant le drame de l’absence de pensée. Ça fait souvent flop mais on en garde une bouffée d’intelligence, de drôlerie subtile dont on se sent l’acteur. Rien n’est jamais conclu réellement, mais ça travaille, et la collision des images fixes et des personnages nous ouvre une dimension d’universalité, une impression de temps qui passe qui nous évoque le destin. Un destin tragique en fait, proche des projections que nous offre l’époque d’aujourd’hui.

Jusqu’à que la Death Nous sépare | QuasiSamedi production

En résidence du 13 au 17 mai

Écrit et interprétation : Chloé Bouiller

Collaboration artistique : Clem Da Silva

Jusqu’à ce que la death nous sépare appartient à une trilogie d’autofictions. Elle raconte sous forme de récits initiatiques différentes étapes de la vie de la jeune apprentie comédienne marseillaise Zoé, personnage naïf et cartoonesque. Le biais de l’autofiction me permet de tisser des récits en apparence impudiques et singuliers, mais qui, une fois leur trajectoire bien dessinée, entrent davantage en écho chez les spectateurs.